L’accomplissement d’un programme requiert de l’argent, surtout quand il s’agit de l’immobilier. La capacité à le mettre en exécution varie en fonction du niveau de vie, de la situation et de l’intention (immobiliers résidentiels ou pierre papier). La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des modalités de financement de projet immobilier qui aident beaucoup. On peut citer deux types : l’autofinancement et le prêt (bancaire, de particulier à particulier…). Un petit détour sur ces différentes modalités !
Financement par fonds propres
La première source de financement idéale se tourne vers l’apport propre. Il s’agit de déployer la liquidité en possession pour contribuer soit à la totalité, soit à une partie des fonds nécessaires. Ce dernier est plus fréquent. En fait, c’est plus commode de mettre quelques sommes de côté afin de couvrir les besoins quotidiens ou d’urgence. Aussi, le porteur de projet ne dispose forcément pas l’intégralité des fonds utiles.
La grande majorité des ménages n’ont pas accès à ce genre de financement. Cependant, pour un plan immobilier comme la pierre papier de ream.lu, l’autofinancement est plus aisé, car les fonds d’investissement sont moindres. En plus, il est rare de trouver un établissement financier qui accorde un prêt sans apport personnel.
Financement par prêt bancaire classique
Le porteur de projet peut demander un prêt immobilier bancaire. La plupart d’entre eux se tournent vers le crédit classique. Il s’agit de rembourser la capitale empruntée et les intérêts à un rythme déterminé à l’avance. Cela peut être un paiement mensuel, trimestriel ou annuel. La durée de restitution peut aller jusqu’à plus de 20 ans. Mais, plus on prend du temps, plus le pourcentage à payer est élevé.
Le crédit amortissable peut être acquitté avec un taux fixe ou variable. Dans le second cas, la somme à verser monte ou descend en fonction de l’évolution des marchés financiers. Pour plus de sécurité, il est plus commode d’opter pour le taux révisable capé où la variation ne va pas au-delà de la limite minimale et maximale convenue.
Financement par prêt bancaire in fine
Ce genre de financement est accordé pour les personnes ayant de la garantie financière. Par exemple, c’est le cas d’existence ou de souscription à une assurance vie. En fait, l’épargne va servir à adosser le financement. C’est aussi praticable pour les projets immobiliers qui génèrent de revenu (acquisition d’une résidence locative ou investissement dans la pierre papier). Le bénéfice perçu sera donc versé sur un produit financier prédéterminé.
Le remboursement diffère de celui du classique, car seul le paiement des intérêts est exigé pendant la durée de prêt. La totalité du capital est à restituer à l’échéance. Les intérêts sont plus élevés par rapport au prêt amortissable. Par contre, l’emprunt bancaire in fine offre plus d’avantages du côté de l’imposition.
En somme, il existe diverses façons de trouver un financement pour son plan immobilier. On n’a cité que les plus courants. Le mieux c’est d’approfondir le pour et le contre de chaque modalité avant de se lancer. Si vous décidez d’opter pour le prêt, il est important de comparer, notamment en matière des taux d’intérêt. D’ailleurs, on recommande de se tourner vers les projets qui génèrent de l’argent. De cette façon, les revenus perçus peuvent servir à rembourser les crédits.